En partenariat avec Allianz
Le Monde parle du Contrat Monetivia
16 Janvier 2017

Dans ce texte, Le Monde revient sur la représentation que les Français se font du viager, qui totalise 4 000 à 5 000 opérations par an :

"Concentré dans le sud de la France et en Ile-de-France, où les prix des logements sont les plus élevés, ce faible volume reflète l’image négative de viager, assimilé à un "pari sur la mort"".

Des innovations sont ainsi mises en place afin de créer des transactions alternatives.

"Le contrat ­Monetivia, lancé en octobre 2016 par la société du même nom, s’inscrit dans cette logique. « Comme lors d’une transaction en viager, le vendeur reste dans son logement et en extrait simultanément une valeur », explique Thomas Abinal, cofondateur de Monetivia. A la différence d’un viager, la société propose en partenariat avec Allianz une offre d’assurance concomitante à un démembrement de propriété à échéance fixe."

C'est ainsi que le pari sur la mort est transformé en un pari sur la vie. L'investisseur acquiert la nue-propriété du bien tandis que le vendeur en conserve l'usufruit pendant une période définie et bénéficie de compléments de prix pour ses héritiers en cas de "décès prématuré", compléments de prix qui sont décroissants avec le temps. Autre garantie, le vendeur peut continuer à occuper le bien à la fin de la période d'usufruit contractuelle : l'investisseur obtient alors une rente mensuelle de la part d'Allianz. Plus encore, si l'usufruitier décide de quitter le bien, c'est à lui que la rente revient.

"Grâce à ce montage, l’opération immobilière est déconnectée de la problématique de longévité de vie du vendeur et supprime cet aléa pour l’acheteur" explique M. Abinal pour Le Monde.

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