Monetivia fait l'objet d'un article de la revue L'Agefi Actifs dans son numéro de Juin 2017.
On y lit que : "Monetivia se positionne comme une alternative au viager en recourant au schéma de la nue-propriété associée à une assurance couvrant le risque de longévité"
Cette vente utilise de manière "ingénieuse et innovante", selon un observateur, les techniques issues du droit positif en matière de droit des biens. [...]
"L'assurance permet d'éliminer l'aspect aléatoire de la vente en viager" relève un notaire.
Du point de vue de l'investisseur, "la décote obtenue est l'équivalentd'un versement immédiat de dix à vingt ans de loyers, sans pour autant avoir à supporter les inconvénients d'une gestion locative" .
Si certes, un complément de prix devra être versé aux héritiers du vendeur en cas de décès prématuré par rapport à la durée contractuelle de l'usufruit, "le prix total versé ne pourra pas dépasser 85% de la valeur vénale du bien" précise Gilles Demouron, directeur du département Notaires de la société Monetivia."".
Plus encore, si le vendeur désire rester dans son bien à la fin de la période d'usufruit contractuelle une "rente minimum garantie par Allianz correspond à 3% du montant investi, à savoir la valeur de la nue-propriété et des honoraires versés à la société Monetivia".
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